Ce rapport donne des renseignements techniques et des conseils pratiques sur l'intégration de la lutte antivectorielle dans les soins de santé primaires de façon à limiter la propagation des maladies à transmission vectorielle. En raison de la très forte prévalence de ces maladies et donc du coût très élevé des activités de lutte, le rapport préconise le recours à des mesures simples qui soient à la fois économiquement abordables, fiables et efficaces. L'importance de la mobilisation des ressources communautaires est soulignée à plusieurs reprises. Après une brève description des projets qui ont utilisé cette approche avec succès, le rapport donne un aperçu des différentes espèces vectrices susceptibles d'être combattues dans le cadre d'efforts de lutte dans la communauté. Il s'agit en particulier des vecteurs du paludisme, des arboviroses, de la trypanosomiase africaine, de la maladie de Chagas et du typhus transmis par les poux ainsi que des rongeurs qui constituent des réservoirs de maladie et des cyclopes hôtes intermédiaires de la dracunculose.

DC.HQ

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