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Chimiothérapie de la lèpre : rapport d' un groupe d' étude de l' OMS [réuni à Genève du 1er au 5 novembre 1993]

By: WHO Study Group on Chemotherapy of Leprosy (1993 : Geneva, Switzerland)Contributor(s): World Health OrganizationMaterial type: TextTextSeries: OMS, Série de rapports techniques ; 847Publication details: Genève : Organisation mondiale de la Santé, 1994. Description: 26 pISBN: 9242208477Title translated: Chemotherapy of leprosy : report of a WHO study group [meeting held in Geneva from 1 to 5 November 1993]; Quimioterapia de la lepra : informe de un grupo de estudio de la OMSSubject(s): Leprosy -- drug therapy | Communicable Diseases and their ControlNLM classification: WC 335Online resources: Click here to access online Abstract: Ce rapport fait le point des données accumulées sur l'efficacité, l'innocuité et l'acceptabilité des schémas polychimiothérapeutiques de l'OMS pour le traitement de la lèpre multibacillaire et paucibacillaire. L'ouvrage, qui s'adresse aux responsables des programmes de lutte contre la lèpre, a pour but de déterminer si des changements s'imposent dans ces schémas polychimiothérapeutiques, largement utilisés depuis plus de 12 ans. Notant que l'efficacité de la polychimiothérapie est maintenant incontestée, les auteurs soulignent qu'il reste nécessaire de simplifier l'administration des médicaments existants, d'améliorer les possibilités d'accès pour les patients ayant des besoins spéciaux et de tirer un parti maximal des médicaments nouvellement mis au point. Tout au long du rapport, l'accent est mis sur les changements qui aideront à organiser des programmes de lutte antilépreuse tels que l'on puisse éliminer la lèpre d'ici l'an 2000. Le rapport se compose de cinq grandes parties. La première présente les résultats de plusieurs études faites parmi de nombreux malades sur la chimiothérapie de la lèpre. Pour la lèpre multibacillaire, les auteurs concluent que la durée du traitement peut maintenant être fixé à 24 mois et qu'il n'est plus nécessaire de poursuivre le traitement jusqu'à ce que les frottis cutanés soient négatifs. Pour le traitement de la lèpre paucibacillaire, la polychimiothérapie pendant six mois recommandée par l'OMS, a fait la preuve de sa très grande efficaicté et qu'il faut continuer à l'appliquer. Dans la deuxième partie sont résumées les données accumulées sur l'innocuité, l'efficacité, les doses optimales et les coûts des médi-caments antilépreux actuellement disponibles. Les schémas chimiothérapeutiques recom-mandés sont présentés dans la troisième partie, qui expose également les schémas de remplacement adpatés aux cas où il y a rechute ou réaction toxique. Après des conseils pratiques sur les questions opérationnelles liées à la qualité des programmes de lutte, les auteurs analysent les perspectives de mise au point de nouveaux médicaments qui pourraient abréger le traitement et en améliorer l'observance par les patients.
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Ce rapport fait le point des données accumulées sur l'efficacité, l'innocuité et l'acceptabilité des schémas polychimiothérapeutiques de l'OMS pour le traitement de la lèpre multibacillaire et paucibacillaire. L'ouvrage, qui s'adresse aux responsables des programmes de lutte contre la lèpre, a pour but de déterminer si des changements s'imposent dans ces schémas polychimiothérapeutiques, largement utilisés depuis plus de 12 ans. Notant que l'efficacité de la polychimiothérapie est maintenant incontestée, les auteurs soulignent qu'il reste nécessaire de simplifier l'administration des médicaments existants, d'améliorer les possibilités d'accès pour les patients ayant des besoins spéciaux et de tirer un parti maximal des médicaments nouvellement mis au point. Tout au long du rapport, l'accent est mis sur les changements qui aideront à organiser des programmes de lutte antilépreuse tels que l'on puisse éliminer la lèpre d'ici l'an 2000. Le rapport se compose de cinq grandes parties. La première présente les résultats de plusieurs études faites parmi de nombreux malades sur la chimiothérapie de la lèpre. Pour la lèpre multibacillaire, les auteurs concluent que la durée du traitement peut maintenant être fixé à 24 mois et qu'il n'est plus nécessaire de poursuivre le traitement jusqu'à ce que les frottis cutanés soient négatifs. Pour le traitement de la lèpre paucibacillaire, la polychimiothérapie pendant six mois recommandée par l'OMS, a fait la preuve de sa très grande efficaicté et qu'il faut continuer à l'appliquer. Dans la deuxième partie sont résumées les données accumulées sur l'innocuité, l'efficacité, les doses optimales et les coûts des médi-caments antilépreux actuellement disponibles. Les schémas chimiothérapeutiques recom-mandés sont présentés dans la troisième partie, qui expose également les schémas de remplacement adpatés aux cas où il y a rechute ou réaction toxique. Après des conseils pratiques sur les questions opérationnelles liées à la qualité des programmes de lutte, les auteurs analysent les perspectives de mise au point de nouveaux médicaments qui pourraient abréger le traitement et en améliorer l'observance par les patients.

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